François Verdier, radical-socialiste et franc-maçon, comme Jean Moulin, chef des MUR (Mouvements Unis de
Une stèle commémorative a été bâtie à l’endroit de son exécution (celle-ci fut peut-être commise en plaçant une grenade à main dans sa bouche, sans certitude historique définitive). Chaque année, sa famille, des anciens résistants, des représentants de l’Etat se retrouvent là pour honorer la mémoire de ce grand résistant, républicain, courageux, qui dut faire face à une terrible agonie. Chaque année, un orateur nouveau prononce un discours, qui ne doit pas se limiter à la seule dénonciation des crimes de
François Verdier n’a pas été oublié, malgré les années, malgré les disparitions progressives de ses camarades de Libération. Il nous montre que l’idéal de justice et de vérité mène sur des chemins terribles, suscite en réaction l’exaltation des forces réactionnaires et l’expression de la barbarie humaine.
Paix à ton âme, François.
Sources à consulter :
- Le choix de l’Histoire, Pierre Vidal-Naquet, Ed. Arléa
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Aussaresses
- http://www.toulouse.fr/telecharger.php?doc=Yv4iMT9wqJ1yoaEmY2EcqzIlpl9AEH1CFIWSVPOPDIAGEFOREHLhpTEz
- http://www.gers.pref.gouv.fr/acvg/documents/1944.htm
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